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Londres, Paris et Berlin "regrettent profondément", dans un communiqué commun diffusé mardi, la limitation "dangereuse" des inspections de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) sur les activités nucléaires de l'Iran.
Décision de Téhéran sur fond de bras de fer toujours avec les Etats-Unis. L'AIEA qui s'est dite pour sa part "vivement préoccupée" par la possible présence de matière nucléaire non déclarée. Eclairage de Didier Billion, directeur adjoint de l'Institut de Relations Internationales et Stratégiques: