Si Brahim Ghali doit être sur le banc des accusés rien ni personne ne pourra s'y opposer, a affirmé la ministre espagnole des affaires étrangères, Arancha Gonzalez Laya.
La responsable espagnole est également revenue sur la brouille diplomatique entre le Maroc et l'Espagne après l'hospitalisation du chef du Polisario sur le sol Espagnol. D'après Arancha Gonzalez, Madrid a apporté toutes les explications opportunes à Rabat. Et l'affaire Brahim Ghali n'a pas déterioré les relation entre les deux pays.