Les camps de Tindouf ont été secoués par de violents incidents dans la nuit du vendredi à samedi, après l'attaque qui a visé le siège de la "gendarmerie" du "polisario" au camp dit de "Dakhla", où trois jeunes habitants ont mis le feu à 3 véhicules de la "gendarmerie", et aux équipements du siège.
Selon le professeur de droit Mustapha Sehimi, ces évenements rappellent un incident similaire survenu février dernier dans le camp dit d'Aousserd, quand des jeunes ont saccagé et mis le feu à un poste de police.
Pourquoi un tel déchaînement de violence dans les camps de Tindouf? Éléments de réponse avec Mustapha Sehimi.